192 élèves soutenus financièrement grâce à vous
Emblématique de son engagement pour l’égalité des chances, le programme de bourses de la Fondation CentraleSupélec permet chaque année à de nombreux élèves issus de familles modestes ou de l’étranger d’intégrer l’École et de suivre leur cursus sans souci d’ordre financier. Cela, grâce à la solidarité entre générations si chère à CentraleSupélec
Bourses, cautionnements de prêts ou aides sur-mesure : des soutiens adaptés aux besoins de chacune et chacun.
En 2020/2021, 93 élèves ont bénéficié d’une bourse attribuée sur critères sociaux. Ces bourses d’un montant de 5 000 € en moyenne permettent aux étudiants disposant de faibles ressources de se consacrer plus sereinement à leurs études. Elles favorisent également la mobilité internationale entrante et sortante : une nécessité pour accueillir sur le campus les élèves étrangers qui n’auraient pas pu venir étudier en France sans cette aide, et pour permettre aux étudiants français d’effectuer la part obligatoire de leur cursus à l’étranger ou un double diplôme dans le pays et l’université de leur choix.
27 élèves ont quant à eux bénéficié d’un cautionnement de prêt, généralement pour les accompagner dans un projet de double diplôme à l’étranger, et 72 autres ont reçu une aide exceptionnelle pour faire face à des situations difficiles, notamment dans le cadre du fonds de soutien Covid-19.
En 2021 enfin, deux nouvelles étudiantes ont comme chaque année bénéficié d’une bourse Sébastienne Guyot : des bourses d’un montant de 8 000 € par an pendant 3 ans, financées par des entreprises mécènes et attribuées sur critères sociaux et de motivation, permettant à ces jeunes femmes de financer entièrement leurs études.
dédiés aux bourses et au soutien des élèves en 2020/2021
À noter également : le Fonds Parcours Réussite de la Fondation, financé par le président de NGE Joël Rousseau (ECP 1975), a cette année encore permis de soutenir par une bourse de vie de 1 700 € en moyenne une cinquantaine d’élèves ingénieurs de Centrale Casablanca, qui a pour vocation de former les leaders de l’Afrique de demain.
Portraits croisés
Charlotte, 5 ans après son diplôme
« Mes parents ont des revenus très modestes, et je suis la première de la famille à avoir fait des études d’ingénieur. Bien sûr, CentraleSupélec me faisait rêver. J’ai travaillé dur et j’ai réussi le concours. Mais je ne sais pas comment j’aurais fait sans la bourse Sébastienne Guyot que j’ai eu la chance d’obtenir. Cette bourse m’a permis de financer le logement, la nourriture, les polycopiés pour les cours, tout cela sans faire trop de petits jobs en dehors de l’École. Grâce à cette aide, j’ai pu aussi réaliser mon projet de double-diplôme au Japon ! J’ai ainsi étudié 2 ans à l’université Keio, à Yokohama, où j’ai obtenu mon master en ingénierie. Et aujourd’hui, je travaille en tant qu’ingénieure étude et développement dans le secteur de la robotique et de l’intelligence artificielle. Je suis donc infiniment reconnaissante à la Fondation et à Sopra Steria, l’entreprise qui a financé ma bourse. »
Charlotte Quintrand, ECP 2017
Christelle, diplômée en 2021
« Je viens du Liban, où j’ai effectué des études de génie électrique. Passionnée par les nouvelles technologies et les énergies renouvelables, j’ai vite formé le projet de travailler dans ce domaine. J’ai choisi CentraleSupélec pour la qualité de son cursus ingénieur, et j’ai été admise en double diplôme ! J’ai découvert une École qui fournit à ses élèves les meilleurs encadrants, mais qui cherche aussi à aider toutes les personnes en difficulté, y compris moralement. Ça m’a été précieux, car c’était difficile pour moi de quitter ma famille au Liban et de me retrouver seule. Et puis, en 2020, suite à l’explosion à Beyrouth et à la crise économique qui a plongé le pays dans un état catastrophique, je me suis retrouvée sans presque aucun moyen financier. La Fondation m’a alors accordé une bourse afin de payer mes frais de scolarité et de logement. Je lui suis infiniment reconnaissante, car c’est grâce à cette aide que j’ai pu continuer mon parcours. Vous savez, la barrière financière est invisible, pourtant c’est elle qui nous empêche de réaliser nos rêves… »
Christelle Saab, CS 2021