Portraits de donateurs
Par reconnaissance pour ce que l’École vous a un jour donné, pour faire rayonner CentraleSupélec et l’excellence scientifique française dans le monde, ou tout simplement par solidarité avec les jeunes générations confrontées aux difficultés contemporaines de la vie étudiante : les diplômés de CentraleSupélec ont tous une bonne raison de s’engager aux côtés de la Fondation, et un rôle essentiel à jouer pour l’avenir de l’École !
Alain Mreiden (ECP 1964)
« Je suis sorti de Centrale en 1964. Tout au long de ma scolarité j’ai beaucoup aimé l’École. Elle m’a énormément apporté dans les contenus fondamentaux comme dans bien d’autres domaines. Grâce à elle, j’ai eu une carrière d’une formidable richesse, dont une première tranche au CEA à Saclay puis une grande partie à l’international. Je suis toujours resté proche de l’École et des Anciens. J’ai d’ailleurs contribué à l’animation du réseau des Alumni en créant pour la première fois dans le pays où je résidais et travaillais un groupement international des Centraliens, puis quelques années plus tard un groupement des Centraliens entrepreneurs à Aix-Marseille, devenu à la demande de HEC et de Polytechnique notamment le groupement des entrepreneurs des grandes écoles. Il me tenait en effet à coeur de promouvoir l’entrepreneuriat auprès des Centraliens, et cela a bien fonctionné. Cet engagement de longue date m’a naturellement amené à devenir donateur et à m’impliquer petit à petit dans l’activité de la Fondation, dont je suis devenu ambassadeur et membre du comité des donateurs.
J’ai vu l’École beaucoup évoluer. J’ai fait ma formation rue Montgolfier à Paris, j’ai vu l’École partir à Châtenay-Malabry, puis à Saclay, j’ai vu la fusion avec Supélec qui a permis à l’École de prendre une autre dimension, tout comme sa position au sein de l’Université Paris-Saclay. Je suis très sensible au profil international et je vois que CentraleSupélec évolue en s’inspirant du modèle des grandes institutions mondiales sans rien perdre de son identité ni de son excellence. Le projet de CentraleSupélec mérite d’être aidé, appuyé, soutenu par nous, les Anciens, qui avons beaucoup bénéficié de l’École et du titre d’ingénieur que nous avons obtenu.
J’aimerais pouvoir les inciter tous à avoir le même engagement que moi, le partager avec le plus grand nombre de mes camarades Centraliens et Supélec. Leur rappeler aussi qu’on peut donner selon ses moyens, s’engager sur plusieurs années…
L’École occupe une place particulière dans mon coeur et j’ai envie de dire à tous les Anciens : venez voir ce que fait CentraleSupélec, intéressez-vous à son projet, il est vraiment remarquable ! Je suis sûr que le simple fait de s’y intéresser est un facteur de motivation à donner ! »
Stéphane Decker (Supélec 1992)
« En tant qu’Ancien, je suis resté attaché à l’École et je soutiens la Fondation avant tout car je me sens redevable de ce que l’École m’a apporté. C’est pour moi un juste retour des choses.
Je tiens particulièrement à aider les étudiants qui peuvent rencontrer des difficultés. Je n’ai pas été confronté à ce problème lors de mes études, mais l’époque est plus difficile aujourd’hui. On parle beaucoup de l’ascenseur social qui est en panne, c’est un sujet réel et complexe. On voit bien, dans les classes préparatoires, qu’il y a très peu d’élèves issus de milieux modestes. Je trouve que CentraleSupélec et la Fondation agissent dans le bon sens pour permettre davantage de diversité au sein des étudiants tout en gardant une forte exigence en terme de niveau.
Il faut aussi plus de parité ! J’ai moim ême deux filles en études d’ingénieur, je suis donc très sensible à cette problématique. Le logement sur le campus est très important aussi. De mon temps, seules les premières années étaient en résidence étudiante, puis les autres en colocation aux Ulis. Tout est très différent quand on vit sur le campus, notamment la vie associative, si importante dans le quotidien des élèves.
Plus généralement, j’apprécie la dynamique donnée à l’École parla création de CentraleSupélec et de l’Université Paris-Saclay. C’est aussi pour encourager cette dynamique que je continuerai à soutenir la Fondation CentraleSupélec. »
ensemble !
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