La Fondation au cœur de l’innovation pédagogique et du développement des nouvelles formations
Alors que CentraleSupélec s’est engagée à doubler son nombre de diplômés d’ici 2032, la Fondation a constitué un fonds d’amorçage dédié à la création de nouveaux cursus permettant d’élargir le vivier de talents formés par l’École et de toujours mieux répondre aux besoins de l’industrie et de la société.
« Aujourd’hui, l’École a fait le choix de doubler le nombre de ses diplômés d’ici 10 ans, et ce, sans être accompagnée par l’État. Ce dernier nous accompagne pour financer le cursus ingénieur, mais pas pour élargir notre gamme de formations. La Fondation est là comme un business angel pour nous aider au lancement de ces nouveaux cursus. »
Olivier Gicquel,
Directeur des formations de CentraleSupélec
des
6 nouveaux cursus ingénieur de spécialités pour relever les défis de transformation et de différenciation technologique
En 2024, CentraleSupélec annonçait le lancement de ces cursus inédits, conçus pour répondre aux attentes exprimées par ses partenaires industriels dans 6 domaines identifiés comme prioritaires :
génie électronique, génie physique, énergie, informatique, systèmes numériques et cybersécurité.
Proches des diplômes d’ingénieur délivrés par les universités internationales comme le MIT, Stanford ou l’EPFL, ils formeront en 3 ans, avec un niveau comparable à celui du cursus d’ingénieur généraliste, des leaders dotés de compétences technologiques approfondies dans leur domaine de spécialité, appelés à exercer des métiers contribuant à la souveraineté industrielle et deeptech de la France.
Accessibles via le concours CentraleSupélec, ces nouveaux cursus accueilleront sur les campus de Rennes et Metz leurs premières promotions en septembre 2025, avec 25 places ouvertes dans chaque spécialité.
des étudiants recrutés en 2024 dans ces formations
internationales sont des femmes. Un atout pour atteindre un objectif phare de l’École : 30 % de femmes parmi la totalité des étudiants de l’École d’ici 2032, contre 20 % aujourd’hui
Les formations internationales confirment leur succès
La Fondation, qui a investi plus de 800 K€ dans la conception et le lancement des formations internationales de l’École, est particulièrement fière de leur succès qui s’est confirmé en 2024 avec l’accueil de leurs deuxièmes promotions :
- 82 étudiants ont rejoint le Bachelor of Global Engineering (BOGE), coordonné avec l’Université canadienne Mc Gill : un effectif appelé à augmenter encore dès 2025 suite à l’accréditation québécoise obtenue par McGill, qui ouvre la voie à des recrutements renforcés ;
- 60 étudiants ont rejoint le Bachelor Artificial Intelligence, Data and Management Sciences (AIDAMS), conduit avec l’ESSEC, soit près du double de l’effectif de la première promotion.
Zoom sur
Aristote,
innovation
pédagogique
soutenue par
la Fondation
Une IA souveraine à la française ?
Des étudiants de la Digital Tech Year l’ont fait !
Imaginée par des étudiants de la Digital Tech Year et développée avec le soutien financier de la Fondation, Aristote permet de retraiter en masse l’ensemble des vidéos pédagogiques (replay des amphis et capsules enregistrées par les enseignants), d’y ajouter des sous-titres et une traduction en anglais.
Développé en Open Source, Aristote orchestre différentes IA toutes installées en France et tournant sur des serveurs souverains et écoresponsables, garantissant une totale confidentialité des données.
FIn 2024, CentraleSupélec a lancé avec quatre universités le projet ILaaS, qui consiste à déployer une partie de la technologie Aristote à l’échelle nationale. EN 2025, le consortium ILaaS sera étendu à 19 universités.
